Un Québécois se bat pour que les électeurs qui ne vivent temporairement plus au Québec puissent garder leur droit de vote après la période de deux ans actuellement prévue par la loi, comme c’est déjà le cas au fédéral.
Peu connu, un article de la Loi électorale précise qu’un électeur qui quitte temporairement la province ne peut exercer son droit de vote que pendant les deux années qui suivent son départ. Cette limite empêche de nombreux électeurs, particulièrement des étudiants, de faire leur devoir de citoyen.
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