Utilisation d'empreintes vocales à des fins d'authentification : points à retenir de l'affaire Rogers


Photo/image : BLG Avocats

Face à l’augmentation constante des risques de fraude, de plus en plus d’organisations, notamment des banques et des entreprises de télécommunications, songent à se tourner vers l’empreinte vocale pour authentifier leurs clients. Cette dernière, qui fait partie de la catégorie des données biométriques, est un modèle numérique de la signature vocale d’une personne. On peut donc s’y fier au même titre qu’une empreinte digitale pour identifier ou authentifier une personne.

Les technologies d’empreintes vocales ne font cependant pas l’unanimité : certains voient ce type d’analyse comme une atteinte à la vie privée, comme le démontre la décision rendue plus tôt cette année par le Commissariat à la protection de la vie privée du Canada contre Rogers Communications Inc.


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