Les plus récentes données sur la population nous rappellent que le Canada occupe le sommet des pays du G7 en ce qui a trait à la proportion des couples en union libre. Ce titre, elle le doit largement au Québec, où on retrouve 42 % des couples « accotés » du pays. Champion dans le domaine, l’union libre est moins encadrée que partout ailleurs. Trop d’amoureux, convaincus que c’est pour la vie, ignorent les conséquences d’une rupture ou d’un décès en l’absence d’un contrat de mariage.
À défaut de se marier, les couples en union libre peuvent parapher un contrat de vie commune. Celui-ci prévoit les modalités d’une séparation ; comment seront partagés les biens, les dettes, entre autres. Au minimum, les conjoints de fait doivent préparer leur testament.
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