Une mère convaincue que le vaccin contre la COVID-19 pourrait contenir une « puce » électronique et serait fabriqué de « cellules de fœtus avorté » ne pourra pas empêcher ses enfants mineurs d’être vaccinés, au grand soulagement du père.
La Cour supérieure vient de retirer à la femme son autorité parentale en matière de santé sur ses enfants de 14 et 9 ans. Le tribunal l’oblige aussi à remettre au père, duquel elle est séparée, le carnet de vaccination des enfants, qu’elle gardait jalousement. Cette décision est la plus récente d’une série rendue par les tribunaux à propos de mésentente parentale concernant le vaccin contre la COVID-19.
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