Une entreprise privée ne peut invoquer la protection offerte par la Charte contre les châtiments cruels et inusités pour contester une amende salée, a tranché la Cour suprême du Canada.
Le plus haut tribunal du pays a rendu jugement et règle la question : seuls les êtres humains peuvent se prévaloir de l’article 12 de la Charte canadienne des droits et libertés qui interdit à l’État d’infliger des douleurs physiques ou psychologiques par des traitements ou des peines dégradants et déshumanisants.
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