Presque tous les membres du caucus conservateur à la Chambre des communes ont voté en faveur d’un projet de loi privé qui aurait pour effet, disent-ils, de protéger la liberté de conscience des professionnels de la santé dans le cas de demandes d’aide médicale à mourir.
Les libéraux au pouvoir, ainsi que les députés bloquistes et néo-démocrates ont fait barrage en s’opposant au projet de loi qui visait à modifier le Code criminel afin de protéger les professionnels de la santé d’avoir à participer « directement ou indirectement » à une procédure d’aide médicale à mourir.
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