Il y a trois ans, Wolf Ruck a décidé de permettre à la nature de suivre son cours en laissant pousser son gazon de manière sauvage. Il soutient que son projet est bon pour l’environnement, mais la Ville de Mississauga, en banlieue de Toronto, où il vit, ne voit pas les choses du même œil. Après plusieurs plaintes de voisins et deux opérations de tonte de gazon forcées par la Municipalité, l’Ontarien a décidé de saisir les tribunaux.
L’homme base son argument sur une décision de la Cour de justice de l’Ontario rendue en 1996. La cause opposait la Ville de Toronto à Sandy Bell, une résidente qui avait reçu une amende de 50 $ pour avoir laissé son gazon pousser de manière sauvage. Tout comme Wolf Ruck, elle soutenait que son jardin était bénéfique pour l’environnement.
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