Un documentaire québécois a attiré l’attention des Canadiens au printemps dernier après avoir révélé que trois hommes d’une même famille – dont deux sont porteurs d’une maladie génétique – avaient engendré 600 enfants grâce à un marché du sperme non réglementé.
Les femmes qui font ce choix s’exposent à plusieurs risques. En étant exposées à du sperme qui n’a peut-être pas été correctement testé, elles peuvent être exposées à des infections transmissibles sexuellement (ITS). Le donneur peut aussi mentir sur ses informations personnelles, par exemple sur ses antécédents médicaux ou criminels. Il serait peut-être temps de créer, comme au Colorado, une loi qui interdit l’anonymat aux donneurs de sperme et d’ovules, et exige que les donneurs soient âgés d’au moins 21 ans.
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