Au lendemain du dépôt de la réforme de la loi 101, trois activistes anglophones ont saisi les tribunaux pour faire invalider des parties de la loi mise en place par René Lévesque, qui impose le français seulement pour certains types de publicités.
« La liberté d’expression commerciale inclut le droit des annonceurs de s’exprimer dans la langue de leur choix. Toute interférence avec ce droit est une infraction non seulement aux droits des publicitaires, mais aussi à leur audience [sic] potentielle », affirment les activistes dans la poursuite civile rendue publique vendredi au palais de justice de Montréal.
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