Le projet de loi visant à encadrer l’intelligence artificielle et les données (LIAD) au Canada, qui se fait attendre depuis deux ans, manque de mordant et comporte des lacunes, selon plusieurs experts. Notamment sur la question des implications sociopolitiques de l’IA et la transparence des données algorithmiques, soutient le doctorant de l’UQAM Lahcen Fatah.
« Ce projet de loi aurait pu s’imposer dès le départ comme un fer de lance [en matière de réglementation de l’IA], mais il y a plusieurs lacunes », explique le doctorant en science, technologie et société de l’UQAM, Lahcen Fatah. Son article Twitter ou l’avènement d’un « Frankenstein 2.0 » ? L’impact des géants de la technologie sur la société et le poids des gouvernements face aux dérives technologiques, publié dans la Revue canadienne de science politique, se penche sur les implications et les nécessités d’une loi telle que la LIAD.
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