Une décision inédite vient d’être rendue par la Cour du Québec concernant un accusé qui a utilisé la technologie d’hypertrucage («deepfake») pour commettre une infraction criminelle. En effet, la décision R. c. Larouche est la première à être rendue en matière de production de matériel de pornographie juvénile avec l’utilisation de la technologie de l’hypertrucage.
Outre la quantité de fichiers possédés par l’accusé, 545 000, qui place sa «collection» parmi les plus importantes de l’histoire judiciaire, la décision mérite d’être soulignée afin d’alimenter une réflexion sur les répercussions des nouvelles technologies dans le domaine du droit criminel. Résumé et analyse de l’affaire.
Lire l'article complet sur SOQUIJ Blogue »