Le gouvernement québécois est sommé une fois de plus d’emboîter le pas au fédéral en déjudiciarisant la possession simple de drogues. Car non seulement des villes comme Montréal le réclament, mais la pandémie a fait bondir le nombre de surdoses accidentelles au Québec.
Il est donc enfin temps d’agir, arguent des groupes d’intervention et de défense des utilisateurs de drogues dans une lettre envoyée au ministre de la Justice, Simon Jolin-Barrette, et dont Le Devoir a obtenu copie.
Lire l'article complet sur Le Devoir »