Le sous-financement des salles de presse et des tribunaux rend la couverture des questions juridiques plus susceptible de mésinformation. Même à la Cour suprême, la présence des journalistes aux séances d’information n’est plus du tout ce qu’elle était. Selon Althia Raj, chroniqueuse au Toronto Star et experte présente à la conférence de l’ABC, le manque de ressources a vidé les salles de presse des vérificateurs de faits et impose un fardeau excessif aux rédacteurs. « Depuis Twitter, à peu près tout le monde est journaliste de presse électronique, a-t-elle mentionné.
Pour les membres de la magistrature canadienne, l’état des médias traditionnels est pour le moins déconcertant. Bien que la relation entre les deux institutions soit épineuse par moments, les tribunaux ont quand même besoin de la presse, et beaucoup de choses les unissent.
Lire l'article complet sur ABC National »