Pas d'anonymat pour les créatrices, tranche la Cour supérieure


Photo/image : SARAH MONGEAU-BIRKETT, ARCHIVES LA PRESSE

Les administratrices de la liste Dis son nom, qui recense en ligne depuis juillet 2020 l’identité de présumés agresseurs, ne pourront conserver l’anonymat, a tranché la Cour supérieure du Québec.

De plus, les créatrices de la page devront aussi remettre à M. Marquis, qui poursuit les deux créatrices de la page, le contenu de toutes les dénonciations reçues par Dis son nom. Elles devront également lui communiquer l’identité et les échanges avec la ou les personnes qui se disent victimes de M. Marquis.


Lire l'article complet sur La Presse »