Lorsque l’aide médicale à mourir a été légalisée au Canada en 2016, la législation comprenait un engagement à un examen parlementaire quinquennal de la nouvelle loi, qui limitait la procédure aux personnes dont la mort naturelle était « raisonnablement prévisible ».
Les retards répétés ont conduit certains critiques à conclure que le gouvernement préférerait attendre que des jugements lui forcent la main, plutôt que de se plonger dans les questions potentiellement politiquement explosives que l’examen parlementaire était censé explorer.
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