Des hauts fonctionnaires envisagent d'offrir une exemption pour des postes où le bilinguisme est obligatoire aux candidats qui parlent une langue autochtone et qui ont une connaissance suffisante d'une des deux langues officielles. Ils ont aussi évoqué l'idée d'étendre le boni annuel de 800 $ remis aux employés bilingues à ceux qui parlent une langue autochtone.
La Loi sur les langues officielles oblige les institutions fédérales à offrir un milieu de travail propice à l'usage effectif des deux langues officielles tout en permettant à leur personnel d'utiliser l'une ou l'autre. Cela implique que les fonctionnaires de haut rang doivent pouvoir communiquer en anglais et en français.
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