Des responsables fédéraux cherchent à savoir si les travailleurs de la santé canadiens pourraient faire face à des risques juridiques pour avoir fourni des services d’avortement aux Américaines à partir d’États où la procédure a été interdite.
Une porte-parole de Santé Canada a déclaré que le gouvernement examinait la question en réponse aux préoccupations soulevées par l’Association canadienne de protection médicale (ACPM) qui fournit un soutien juridique aux médecins, au sujet des conséquences transfrontalières potentielles de la décision de la Cour suprême des États-Unis d’annuler la loi de 1973 qui légalisait l’avortement dans tout le pays.
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