Lors d'une prestation en direct sur un réseau social, alors qu'il vociférait sa rage contre les mesures visant la protection du public dans le cadre de la pandémie de COVID-19, l'accusé a effectivement menacé de faire pendre le premier ministre, Monsieur François Legault.
L'accusé a profité de la diffusion de son droit de parole sur les réseaux sociaux pour proférer des menaces violentes à l'endroit d'une personne élue démocratiquement. Ce type de comportement, un mal qui hante Internet de plus en plus et qui a été accentué avec la pandémie de COVID-19, risque de devenir un fléau et, par le fait même, d'atteindre les fondements de notre démocratie.
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