Pour faire suite au billet sur le sujet de la violence au travail, on propose 3 sentences arbitrales récentes mettant chacune en cause un salarié auquel l’employeur reproche d’avoir proféré des menaces de mort. Dans chacun des cas, le congédiement a été confirmé.
Si le congédiement n’est pas automatique en matière de violence au travail, il est difficile (avec raison) de voir le lien d’emploi survivre à des menaces, de mort ou non.
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