Il est parfois réconfortant d’être pris en charge lorsqu’on ne sait plus où donner de la tête. Perdu dans les méandres de la machine administrative ou les dédales de la bureaucratie, beaucoup seront soulagés d’entrevoir une main tendue ou de trouver une oreille attentive. Or, il arrive que cette aide providentielle devienne un carcan qui n’offre pas le soutien escompté.
Dans une décision récente du Tribunal administratif du travail (TAT), un juge s’est penché sur le cas d’un travailleur qui a bénéficié de l’accompagnement de son employeur lorsque est venu le temps de consulter pour des douleurs aux doigts et aux mains. Résumé et analyse de l’affaire.
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