La validité des tests de dépistage de drogue ou d’alcool en milieu de travail a fait l’objet d’une jurisprudence abondante au cours des dernières années. Une décision récente du tribunal d’arbitrage[1] distingue toutefois les principes applicables afin d’accorder une importance spécifique aux politiques librement négociées en la matière et de préciser quelles circonstances extrêmes pourraient justifier l’imposition de tests aléatoires par un employeur, élargissant ainsi tacitement l’éventail de situations en vertu desquelles de tels tests pourraient être considérés valides.
Dans cette décision, le tribunal d’arbitrage était saisi d’un grief contestant le congédiement du plaignant, lequel occupait un poste de matelot pour l’employeur, une compagnie de flotte de navires. Résumé de l’affaire.
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