« On ne voit pas la valeur ajoutée d’une loi », a expliqué le président du Bureau de coopération interuniversitaire (BCI) et recteur de l’Université de Sherbrooke, Pierre Cossette. « Légiférer ainsi, ça menace la liberté universitaire », a-t-il déclaré.
Il s’est prononcé contre l’exigence pour les universités d’adopter une politique portant « exclusivement » sur la liberté académique et devant prévoir la création d’un « conseil ».
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