La Loi sur le bien-être et la sécurité de l’animal, adoptée par Québec en 2015, interdit à quiconque de compromettre le bien-être d’un animal ou de lui infliger de la détresse. Mais ces dispositions de la loi ne s’appliquent pas aux animaux d’élevage, qui se comptent par dizaines de millions dans la province, tant qu’ils sont traités en vertu « des règles généralement reconnues ».
Une exemption qui, selon certains, laisse la voie libre à la « cruauté inhérente » au mode d’élevage intensif. Mais qui permet, pour d’autres, de nourrir la population et d’offrir une protection accrue jugée normale aux animaux de compagnie.
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