C’est avec un discours et une stratégie de minorité assiégée que la communauté anglophone québécoise entend lutter contre la loi 96 du gouvernement caquiste, qu’elle estime être une atteinte à ses droits à plusieurs égards.
Christopher Skeete, l’adjoint parlementaire du premier ministre François Legault pour les relations avec les Québécois d’expression anglaise, a précisé que, malgré l’amendement constitutionnel prévu par la loi 96 et le recours à la disposition de dérogation (clause nonobstant), « nous n’empiétons pas sur les droits des anglophones d’obtenir accès aux services de santé en anglais. Nous ne disons pas que les Québécois de langue anglaise n’auront pas le droit […] d’être traités par le système judiciaire dans leur langue. »
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