Les réseaux sociaux sont addictifs, exploitent les données de leurs utilisateurs sans leur consentement et font de l’argent sur leur dos. Est-ce bien le cas ? Les actions collectives intentées ces dernières années qui tentent de faire la lumière sur ces questions très délicates ont toutes un point en commun : elles ont Facebook dans leur mire.
La demande d’action collective la plus récente touche à l’impact des réseaux sociaux sur la santé mentale de leurs utilisateurs. Elle a été déposée plus tôt cet été contre Meta, ByteDance et Alphabet, notamment. Ces sociétés multinationales ciblées auraient « volontairement développé et mis en marché des plateformes excessivement addictives et dangereuses pour la santé de leurs utilisateurs », selon la requête déposée au palais de justice de Montréal par l’étudiant montréalais Benjamin Chancey.
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