Alors que Québec a annoncé l’entrée en vigueur d’un passeport vaccinal contre la COVID-19 le 1er septembre, le ministre du Travail, Jean Boulet, a tenu à souligner que le statut vaccinal d’une personne ne pouvait être un motif de congédiement ou de refus d’embauche.
À compter du 1er septembre, un passeport vaccinal entrerait en vigueur et pourrait être utilisé s’il y a dégradation ou changement dans la situation épidémiologique, dans un territoire donné. Mais cela ne pourra être utilisé pour des services essentiels ni pour des services publics.
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