Au début du mois de septembre, après que le gouvernement du Québec ait annoncé qu’il allait commencer à accorder des demandes anticipées d’aide médicale à mourir, des journalistes ont demandé à Patrick Michel, le directeur des poursuites criminelles et pénales de la province, si le gouvernement agissait en dehors de la loi.
Le gouvernement provincial avait auparavant indiqué qu’il attendrait que le gouvernement fédéral modifie le Code criminel pour protéger les professionnels de la santé contre les accusations criminelles pour avoir mis fin à la vie d’une personne qui n’est plus en mesure de donner son consentement. Malgré de multiples demandes en ce sens, la province a déclaré que le gouvernement fédéral a refusé d’agir. La décision d’aller de l’avant sans ces changements signifie-t-elle alors que la province défie la loi?
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