Plusieurs centrales syndicales estiment que le projet de loi visant à combattre le harcèlement psychologique et la violence à caractère sexuel au travail, à l’étude jusqu’à jeudi à l’Assemblée nationale, ne va pas assez loin pour faciliter le parcours des victimes.
« C’est un projet de loi qui a un côté un peu plus coercitif que préventif. Il y a une quasi-absence de mesures de soutien, d’accompagnement, de sensibilisation et d’aide pour le milieu de travail à cette prise en charge », a déploré Luc Vachon, président de la Centrale des syndicats démocratiques (CSD).
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