L’arrêt de la Cour européenne de justice limitant l’accès aux registres des sociétés ne présage rien de bon pour tous ceux qui luttent pour plus de transparence ici au pays.
Cela fait bien sept ans que le Canada s’attire la disgrâce sur le plan de la transparence organisationnelle. Il est vu comme un pays arriéré qui peine à lutter contre le blanchiment d’argent et l’évasion fiscale, tout simplement parce qu’il n’a pas les outils pour comprendre à qui revient réellement la propriété des entreprises qui s’enregistrent auprès de lui.
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