Dans la dernière année, la majorité des entreprises canadiennes qui ont été victimes d’une cyberattaque par l’entremise d’un rançongiciel admettent avoir payé la rançon. Comme on peut l’imaginer aisément, cette tendance de payer les malfrats pour récupérer nos données ou empêcher leur dissémination s’avère très problématique.
Si les victimes paient généralement, les cybercriminels sont incités par la loi du marché à poursuivre leurs activités liées aux rançongiciels. De plus, les assureurs sont actuellement en hémorragie à cause des coûts associés aux réclamations attribuables aux rançongiciels. Il semble que le coût des primes d’assurance pour assurer ce genre de risque explosera, afin de permettre aux assureurs de demeurer rentables.
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