Les enquêteurs génétiques du Laboratoire de sciences judiciaires et de médecine légale du Québec (LSJML) ainsi que les corps policiers sont sur le point de s'affranchir de leur dépendance aux laboratoires privés américains.
De nouvelles technologies mises à leur disposition pourraient même les aider à élucider des crimes non résolus. Outre l'approfondissement de dossiers non résolus, ces technologies soutiendront les enquêtes sur les personnes disparues, l'identification de restes humains et, surtout, la résolution de crimes graves tels que des meurtres, des tentatives de meurtres, des agressions sexuelles et des crimes en série.
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