Le 29 juin dernier, la Cour d’appel a rendu une décision importante en ce qui concerne le délai de prescription applicable à l’homologation d’une sentence arbitrale étrangère. En effet, cette décision démontre la place grandissante que l’arbitrage prend dans notre système judiciaire.
Dans le présent arrêt, la Cour d’appel arrive à la conclusion que, au Québec, la sentence arbitrale bénéficie d’un statut privilégié similaire à celui dont bénéficie le jugement d’un tribunal judiciaire. Résumé et analyse de l’affaire.
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