Les victimes d'erreur médicale n'ont bien souvent pas l'argent ni l'énergie pour se lancer dans une poursuite. Selon Paul Brunet, président-directeur général du Conseil pour la protection des maladies, c’est une injustice crasse. Ce n’est pas d’hier qu’il revendique un meilleur système pour permettre aux victimes d’erreurs médicales de se faire entendre.
Qu’en est-il d’un régime no fault qui serait comme un système d’assurance sans égard à la responsabilité? Selon certains avocats spécialisés dans le domaine, croient que c’est de l’utopie. Devrait-on plutôt modifier le Code civil afin de renverser le fardeau de la preuve pour que ce soit à la défense, à l'hôpital, aux médecins, aux infirmières, aux techniciens de s'expliquer ?
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