En l’absence d’une disposition législative, la Cour suprême du Canada a indiqué dans Fortin que l’on ne pouvait pas sanctionner une personne qui commettait l’erreur de s’adresser à un «faux avocat». Il n’en demeure pas moins que de consulter une personne qui s’improvise avocat alors qu’elle ne possède pas les connaissances ni les compétences requises peut mettre en péril les droits d’un justiciable.
Ainsi, afin d’alerter les citoyens à l’égard de ces dangers, la pratique illégale du droit est au cœur de la récente campagne de sensibilisation du Barreau du Québec. Car tout comme le bon vieux dicton l’habit ne fait pas le moine et bien on pourrait aussi dire la toge ne fait pas l’avocat.
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