Le juge Marc-André Blanchard n’aura pas le dernier mot sur la Loi sur la laïcité de l’État. Ni les groupes opposés à la loi 21 ni le procureur général du Québec, Simon Jolin-Barrette, ne concéderont la défaite après avoir pris connaissance de la décision du magistrat de la Cour supérieure mardi avant-midi.
La loi prévoyant notamment l’interdiction du port de signes religieux chez certains employés de l’État — enseignants, policiers, procureurs aux poursuites criminelles et pénales, gardiens de prison — se trouvera à coup sûr devant la Cour d’appel du Québec, puis la Cour suprême du Canada, sont persuadés ses partisans et ses détracteurs.
Lire l'article complet sur Le Devoir »