Une décision de justice, jusque-là passée inaperçue, démontre que la Fonderie Horne a utilisé ses avocats pour essayer de forcer la santé publique de l'Abitibi-Témiscamingue à lui remettre les données brutes de son étude de biosurveillance, ce qui aurait permis à la compagnie d'identifier les enfants contaminés à l'arsenic, au plomb et au cadmium.
La santé publique régionale, à travers le CISSS de l'Abitibi-Témiscamingue, a dû défendre son refus de transmettre ces informations. La Fonderie l'a amené devant la Commission d'accès à l'information pour obtenir une révision.
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