Dans une déclaration publiée lundi, la FMOQ évoque le règlement découlant du projet de loi 11, adopté par le gouvernement en mai dernier. Elle affirme qu’il « empêche les médecins de famille d’exercer leur jugement clinique dans l’inscription de patients nécessitant un suivi particulier ».
Ce règlement contraint les omnipraticiens à prioriser les patients inscrits sur la liste du Guichet d’accès à la première ligne (GAP) dans le but d’améliorer l’accès aux soins. La fédération qui représente 10 000 médecins de famille au Québec a dénoncé certains angles morts du règlement, notamment que les médecins ne peuvent pas inscrire au GAP des personnes atteintes de troubles neurocognitifs et des nouveau-nés.
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