Les défenseurs de la réduction des méfaits affirment qu’une affaire devant la Cour suprême du Canada mettra à l’épreuve la loi actuelle du bon samaritain, qui protège les personnes contre l’arrestation après avoir appelé le 911 pour demander de l’aide pour une personne qui fait une surdose.
L’audience de la Cour suprême du Canada mardi entendra les arguments sur les pouvoirs de la police d’arrêter des personnes sur les lieux d’une surdose de drogue, et si une loi de 2017, connue sous le nom de Loi sur les bons samaritains secourant les victimes de surdose, est claire sur ces pouvoirs.
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