Dans une décision à six voix contre une rendue publique vendredi, le plus haut tribunal du pays conclut que de telles peines minimales obligatoires violent le droit garanti par la Charte canadienne qui protège « contre tous traitements ou peines cruels et inusités ».
« Les périodes obligatoires d’incarcération s’appliquent à une gamme de comportements si exceptionnellement vaste que des peines exagérément disproportionnées sont infligées dans des scénarios raisonnablement prévisibles », peut-on lire dans le jugement.
Lire l'article complet sur La Presse »