Dans un rapport préliminaire, le commissaire aux langues officielles, Raymond Théberge, donne de nouveau raison à un plaignant qui dénonce l’absence de traduction de milliers d’anciennes décisions de la Cour suprême du Canada. L’organisme québécois à l’origine des accusations est prêt à poursuivre le plus haut tribunal du pays pour le forcer à respecter ses obligations.
« Afin que la Cour suprême du Canada se conforme à ses obligations prévues à la Loi sur les langues officielles, je lui recommande, dans les 18 mois suivant la date du rapport final d’enquête, de veiller à ce que les décisions publiées sur le site Web […] soient dans les deux langues officielles », a écrit M. Théberge dans son rapport préliminaire d’enquête.
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