L’affaire Mike Ward a entraîné la fermeture de 194 dossiers de propos discriminatoires par la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (CDPDJ), ont révélé ses dirigeants, vendredi, en présentant leur rapport d’activités pour l’année 2021-2022.
La décision de la Cour suprême, qui a donné raison à l’humoriste, précisait que le Commission avait outrepassé sa juridiction en intervenant dans les dossiers de propos discriminatoires, le plus haut tribunal décidant que la protection contre la discrimination prévue dans la Charte ne crée pas un droit « de ne pas être offensé ».
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