L’affaire tire son origine d’une enquête ayant révélé que les batteries utilisées dans certains téléphones cellulaires de marque Samsung Galaxy Note 7 seraient la cause d’une augmentation de température qui pouvait engendrer un incendie et la destruction de ces téléphones cellulaires.
La Cour a constaté que Samsung avait réagi rapidement en prenant et assumant ses responsabilités auprès des consommateurs. Dès lors, en cherchant à retirer du marché les produits défectueux et en offrant de les remplacer ou de les rembourser, la compagnie a agi en citoyen corporatif responsable. Quant aux dommages punitifs, la Cour a également noté qu’aucune allégation ni preuve au dossier ne supportait l’hypothèse d’une faute intentionnelle. La Cour a donc rejeté la demande d’une action collective.
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