Dès le dévoilement du code QR pour le passeport vaccinal, des hackers l’ont tout de suite téléchargé pour le tester et détecter des failles. Or un d’entre eux a informé le gouvernement québécois d’une faille majeure de l’application, qui permettait de créer de toutes pièces un code QR, sans aucun besoin d’être vacciné. Aux yeux de certains, cela est une fraude alors que pour d’autres, c’est une bonne affaire.
En tant que spécialiste des questions de droit de l’information et de droit des technologies, le professeur Pierre Trudel croit que cette histoire démontre les multiples problèmes qu’ont accumulés les États en matière informatique. Est-ce que l’État devrait formaliser des relations avec des « hackers bienveillants » ?
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