La proposition faite par le professeur Patrick Taillon au Parlement québécois de « traduire, modifier et adopter » un pan de la Constitution du Canada sans demander préalablement le feu vert d’autres membres de la fédération a trouvé écho au sein de l’équipe de François Legault.
Cette « démarche » aurait notamment l’avantage d’affirmer constitutionnellement certaines caractéristiques spécifiques des institutions québécoises — dont le devoir de l’Assemblée de défendre le caractère démocratique, la tradition de droit civil et le français comme langue officielle de nos institutions , plaide le professeur à la Faculté de droit de l’Université Laval.
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