Inquiet de l’accessibilité des soins de santé, le Regroupement provincial des comités des usagers (RPCU) demande à être entendu par Québec au sujet du projet de loi 67. Ce texte législatif vise à élargir les pouvoirs de certains professionnels, comme les pharmaciens et les psychologues.
Si le projet de loi 67 est adopté, il permettrait notamment à des psychologues et à des sexologues de diagnostiquer certains troubles mentaux. Or, plusieurs de ces professionnels québécois travaillent dans le secteur privé, souligne Sylvie Tremblay, directrice générale du Regroupement provincial des comités des usagers. « L’accès au public pour les clientèles vulnérables demeure un incontournable. Et ça, le projet de loi ne l’adresse pas », affirme-t-elle.
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