Les administratrices de la liste « Dis son nom », qui recense en ligne depuis l’été dernier l’identité de présumés agresseurs, peuvent-elles conserver l’anonymat même lorsqu’elles sont poursuivies en diffamation ?
C’est l’épineuse question à laquelle devra répondre la Cour supérieure dans les prochaines semaines. La décision pourrait avoir des conséquences importantes dans le contexte où les vagues de dénonciations publiques en matière d’agressions sexuelles se succèdent depuis quelques années.
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