Les retards judiciaires causés par la pandémie ne se sont pas révélés être « la catastrophe redoutée », constatent les juges en chef de la Cour du Québec et de la Cour supérieure. Selon eux, les Québécois peuvent respirer : leurs conflits soumis aux tribunaux ne seront pas donc reportés aux calendes grecques en raison de la COVID-19.
Un an et demi plus tard, certains s’inquiètent que la suspension temporaire des activités n’ait fait grossir la pile des dossiers en attente. « Ce n’est pas embourbé par la pandémie », soutient le juge en chef de la Cour supérieure du Québec, Jacques R. Fournier. « C’est presque business as usual », dit-il, alors qu’il estime les retards à quelques semaines, voire à un mois et demi, mais pas plus.
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