Exposer un enfant à des relations sexuelles bruyantes, même derrière des portes closes, peut constituer un abus sexuel au sens de la Loi sur la protection de la jeunesse. Un père qui n'a pas pris les moyens de protéger sa fille des cris de ses ébats avec sa conjointe s'est vu confirmer par la Cour qu'il ne pouvait en avoir la garde.
Si exposer un enfant au son de ses ébats sexuels peut constituer un abus au sens de la Loi sur la protection de la jeunesse, est-ce que ce comportement pourrait mener à des accusations criminelles?
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