Les tribunaux canadiens ont subi aussi les conséquences des restrictions sanitaires. Ils devront maintenant déterminer dans quelle mesure les retards occasionnés avec la COVID-19 devraient être jugés raisonnables et inévitables, alors que de plus en plus de causes approchent ou dépassent le délai maximal fixé pour les procès criminels, selon des experts.
La pandémie a interrompu les procédures judiciaires en personne pendant des mois dans de nombreuses provinces au cours des deux dernières années. La crise sanitaire a aussi suspendu les procès devant jury pendant de longues périodes, aggravant les retards existants.
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