Un homme accusé de meurtre au premier degré en 2016 tentait d’obtenir le pouvoir d’avoir un mot sur la composition de son jury. Il affirmait que des modifications apportées à la sélection des jurés ont enfreint les droits de certains accusés en vertu de la Charte canadienne des droits et libertés.
La Cour suprême du Canada a rejeté ses arguments et maintient que le processus est constitutionnel. Regard sur cette loi.
Lire l'article complet sur Radio-Canada »